Ma nouvelle vie de soubrette

A la fin d'une mission d'intérim, je décidais de prendre plusieurs semaines de congé, en me rendant chez des amis à l'autre bout de la France. Ayant tout mon temps et ne désirant pas m'imposer trop longtemps je décidais de faire des haltes pour visiter des endroits intéressants et touristiques. C'est au cours d'un de ces arrêts que j'ai rencontré deux femmes qui ont changé le cours de ma vie.

Nous nous sommes rencontrés au bar d'un restaurant et après quelques mots je me suis retrouvé à leur table, puis chez Sylvie et Isabelle. Avaient-elles deviné mes penchants masochistes ? En tout cas je ne pouvais rien refuser à ces deux jeunes et belles femmes. Elles me dirent de me dévêtir, puis m'examinant elles m'affirmèrent qu'elles désiraient me faire une surprise. Me bandant les yeux elles me conduisirent dans la salle de bain et m'enduisirent d'une crème qui avait une odeur assez forte. Après quelques minutes je fus savonné, frotté, étrillé devrais je dire, rincé, parfumé et conduit nu dans une chambre. Isabelle me défit le bandeau et alors je m'aperçus que je n'avais plus un poil sur le corps.

J'étais devenu complètement imberbe, moi qui avait le système pileux plutôt fourni, je ne reconnaissais plus mon corps. Sur le lit une tenue de soubrette (bas, bustier, petite culotte, robe noire et tablier blanc) qu'elles m'ordonnèrent d'enfiler avec des chaussures noires vernies à talons. Elles me dirent qu'elles me gardaient la semaine, à condition que je reste dans cette tenue et que je leur donne satisfaction.

J'avais l'impression d'être une autre personne en leur donnant mon accord. Après un autre passage dans la salle de bain ou je fus maquillé et affublé d'une perruque je passais une autre inspection, mon sexe était raide et énorme. "Nous allons y remédier" dit Sylvie qui s'agenouilla, m'ôta la culotte, leva ma robe et se mit à me pomper avec délicatesse, puis plus d'ardeur, je ne tins pas longtemps. Isabelle pris la suite et j'explosais encore une fois.

Maintenant, un petit café, ta petite nuisette et au lit, tu dois être fatigué de ta journée.

Après ce café, je sombrais dans un sommeil profond. A mon réveil, j'eus encore une drôle de sensation, un regard sur mon sexe me fis constater qu'il était sanglé dans un étui de cuir, tiré et attaché en arrière entre mes cuisses. Cette installation était verrouillée par un petit cadenas. Cela me faisait mal, surtout que je m'étais remis à bander. Les filles apparurent, tu vois maintenant tu es vraiment une femme, tu ne pourras plus pisser debout.

Allez à la toilette, ta journée va être bien remplie, il faut que tu apprennes à être indépendante ma grande. Douche, rasage minutieux furent vite expédiés, mais le maquillage pris plus de temps. Serré dans un corset sous ma petite robe noire, perché sur des talons, je ressentais de l'excitation mêlée à un sentiment de honte. Isabelle me passa la main entre les cuisses et constata mon érection toujours aussi douloureuse. Nous ne nous sommes pas trompées, elle aime ça dit elle.

Dans la matinée , je suis sorti faire quelques courses accompagné de Sylvie, l'air frais qui caressait mes jambes habillées de bas, l'attitude des hommes à mon égard, me troublait et m'excitait. Soupçonnaient-ils quelque chose ou voyaient-ils en moi une femme désirable ?

L'après midi, je fus présenté à quelques amies de mes maîtresses, elles m'ont maquillé d'une manière plus voyante et sexy que le matin et me firent essayer plusieurs tenues. Elles en ont sélectionné une, c'était une robe noire de dentelle qui laissaient voir le corps et les dessous. Elles changèrent également mes chaussures, la taille des talons doublaient et j'avais du mal à marcher, tu les gardes il faut t'entraîner, Elles me re-fixèrent le sexe en arrière entre les jambes. Ensuite elles m'offrirent un paquet cadeau : ouvre le tout de suite.

Sous le papier d'emballage je découvris un god. Si tu veux rester, il faut le mettre, on va t'aider. Avec difficulté et force lubrification il trouva sa place, c'était une douleur supplémentaire. Voilà tu es prête, remets ta tenue de soubrette et quand tu auras fini le service du repas, après le café tu viendras te changer avec cette robe.

Les invités arrivèrent, les femmes que j'avais vues dans l'après midi étaient méconnaissables. L'une nue sous son manteau, le sexe entièrement épilée était tenue en laisse, par son compagnon. L'autre avait une robe dévoilant ses seins devant, et échancrée derrière laissant voir les globes de ses fesses. La troisième portait une guêpière en latex ouverte de haut en bas et ne tenant que par des crochets si bien que l'on voyait et ses seins et son ventre. Autrement elle avait des bas à bordures de dentelle et un cache-sexe minuscule qui ne lui couvrait même pas toute la fente. Aux pieds : des bottines à talons...

Le service ne fut pas de tout repos. Tandis que je servais les plats et le vin, marchant avec difficulté sur mes hauts talons, les mains s'égaraient sous ma robe, me serrant l'étui pénien à me faire mal.

Ensuite on m'a envoyé me changer et me remaquiller, à mon retour je fis sensation auprès des hommes dans ma nouvelle tenue, on me fit comprendre que je ne pouvais rien refuser à Alain qui était venu seul. Je n'avais jamais dansé de slow en tenant le rôle de la femme, les bras autour du cou de mon cavalier tandis que ses mains avaient glissées sur mes fesses, sa bouche cherchait la mienne. Après une première réaction de recul, je répondis à son attente, après tout, n'étais je pas devenu une femme désirable et sexy ?

A la fin de la soirée qui avait été bien arrosée, il m'a mis à genoux. J'ai compris ce qu'il attendait de moi. J'ai sorti son sexe et l'ai pris dans la bouche, lui faisant ce que j'avais toujours désiré de mes maîtresses. Quand il a explosé, j'ai éjaculé dans ma petite culotte et tandis que je nettoyais mon amant de la langue. je sentais mon sperme couler le long de mes cuisses souillant mes dessous. Les autres applaudissaient, quelle fierté pour mes maîtresses, en quelques jours quelle salope étais-je devenue. Il m'a ensuite entraîné dans une chambre, où son sexe put enfin prendre la place du god. Je me rends compte avec effroi que j'adore cette nouvelle vie. Dans un premier temps j'ai décidé d'arrêter là mon voyage, pour la suite je verrai plus tard.